Arbre de consanguinité
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- Écrit par Roseline Skott
- Catégorie : Histoire

Arbre du Rituel de Bayeux, en latin, qui réunit les degrés de parenté canonique et civil
Degré de consanguinité - Degré de parenté
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- Écrit par Pascal Gendreau
- Catégorie : Inclassables

La mesure des degrés de consanguinité ou de parenté a varié dans le temps, et surtout l'Eglise catholique et le Code Civil comptaient et comptent différemment car leur logique n’est pas la même.
Le Refuge huguenot en Amérique du Nord
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- Écrit par Jean-Paul BOUDAULT
- Catégorie : Religions

Interview de Bertrand Van Ruymbeke
in L’ACTUALITÉ POITOU-CHARENTES N° 55
En butte aux dragonnades et à la révocation de l’édit de Nantes en 1685 qui entérine l’interdiction du protestantisme sur le sol français, de nombreux huguenots refuseront d’abjurer leur foi, préférant l’exode à la conversion forcée. Bertrand Van Ruymbeke enseigne la civilisation américaine à l’Université de Toulouse. Il travaille également à l’Université de Charleston en Caroline du Sud. Pour lui, les huguenots constituent un cas à part en ce qu’ils ont suivi les routes transatlantiques britanniques. En porte-à-faux sur deux mondes, le monde français et le monde colonial britannique, les huguenots présentent un éclairage comparatiste entre les deux systèmes coloniaux.
Pouvez-vous nous préciser cette notion de «refuge» huguenot ?
Poitiers - Cabarets et auberges
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- Catégorie : Histoire

Bien qu’elle n’ait sans doute plus la même importance qu’au XVe ou au XVIe siècle, Poitiers reste une ville très attractive durant tout le règne de Louis XIV. Capitale administrative du Poitou, elle abrite en son sein tous les grands services royaux, notamment les tribunaux d’une sénéchaussée et d’un présidial. C’est également une grande cité catholique, dotée d’un évêché, d’un grand collège jésuite, d’une bonne quarantaine de couvents, mais aussi d’un lieu de pèlerinage de dimension régionale en la collégiale de Saint-Hilaire-le-Grand. Enfin, Poitiers dispose toujours d’une grande université qui, malgré des difficultés, continue d’attirer plusieurs centaines d’élèves.
Pour accueillir les «usagers» des diverses administrations royales, les pèlerins, les clercs, les militaires, les étudiants ou les simples voyageurs, mais aussi afin de pourvoir aux besoins de ses 20 000 habitants, la cité poitevine possède un nombre conséquent d’auberges et de cabarets. Or, force est de constater que ces établissements passent alors difficilement inaperçus dans le paysage urbain poitevin.
Celle-l'Evescault - Curiosités
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- Écrit par Brigitte CAPPATTI
- Catégorie : Vienne

Le château de Cellevezais
Niché dans un écrin de verdure, au nord-est de la commune de Celle l’Evescault, le village de Cellevezais est bâti sur un promontoire, entouré par un méandre de la Vonne. Une petite route mène à ce village en partant du bourg de Celle- l’Evescault. C’est un ancien fief relevant de Cloué
Le dictionnaire topographique de Redet nous indique que Cellevezais apparaît pour la première fois dans les textes en 1409. Il est alors mentionné dans le Grand Gauthier (livre des fiefs et dénombrements du Poitou) sous le vocable de Sarvazay.
Rom - Curiosités
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- Écrit par Pascal Gendreau
- Catégorie : Deux-Sèvres

Le château de la Martinière
Pendaison de Massée Belalé à Poitiers
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- Catégorie : Actes insolites

(j’ai fait quelques corrections d’orthographe pour que la lecture soit plus agréable)
Le vendredi 22e mars 1641, sur les 8 heures du soir, fut pendue et estranglée, à la place, après avoir fait amande honorable devant la porte de l’église Nostre Dame la Grande, et trainée sur une clie, Massée Belalé, veuve en première noces de Pierre Dehays, cierger, et en seconde de ... Léger, pour avoir fait assassiner ledit Léger dès le mois d’aoust 1630, elle estant hors la ville chez sa mère qu’elle gouvernait au lit de la mort, ce qu’elle pensait qui la couvrirait toujours ; mais enfin, par la permission de Dieu, elle a estée convainque de l’avoir fait faire par le nommé Pépin, chaussetier, et Marie Dehais, non encore femme dudit Pépin et fille de ladite Bellalé, avec aultres leurs adérans ; lesquels, une nuit qu’il dormait, l’assomèrent à coups de marteau et l’estranglèrent,