Bureaux d'enregistrement dans la Vienne
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Origine sur YouTube (chaine DirtyBiology) : https://youtu.be/wXAydbyKD_4

J'ai eu l'occasion de voir aux AD86 un document exceptionnel qui n'est sorti que pour des recherches universitaires.
Pas de possibilité de le consulter ordinairement. La surveillance était redoublée mais j'ai pu m'en approcher sans trop de difficultés.
J'en ai profité pour prendre des photos.

"Aimeri BADETRANS, Ecuyer, se désiste de quelques droits qu'il prétendait sur le bois de Bourneau".
"Sceau de Guillaume, Archiprêtre de Montmorillon"
Pour les amoureux du latin, je leur laisse la traduction.
Source : Archives de la Vienne
cote 1 H 5, daté du 29 Avril 1251, référencé sous le n° 222

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André Brun nous propose une série d'images extraites de l'ouvrage suivant

Inventaire sommaire des archives départementales antérieures à 1790

par Emile Bricauld de verneuil et Maurice Pouliot

Editeur : Imprimerie Moderne Renault & Cie - Poitiers - 1940

 

Vous trouverez ces images dans le menu "Rubriques spéciales"

La mesure des degrés de consanguinité ou de parenté a varié dans le temps, et surtout l'Eglise catholique et le Code Civil comptaient et comptent différemment car leur logique n’est pas la même.

Pour les amateurs d'histoire, le site "Criminocorpus" propose un long article intitulé "Le canard était toujours vivant ! De Troppmann à Weidmann, la fin des complaintes criminelles, 1870-1939".

Résumé :

À rebours de l’idée communément admise selon laquelle les complaintes criminelles auraient disparu en France à la fin du XIXe siècle, remplacées par la rubrique de « faits divers » des quotidiens populaires, le présent article suit leurs mutations jusqu’à la veille de la Seconde Guerre mondiale. À l’aide d’un corpus de « canards » essentiellement provinciaux, nous examinons l’évolution du support papier de la complainte, de la mélodie qui la sous-tend, de son style et son contenu, ainsi que de son édition et son commerce. Ainsi, nous suivrons l’art de « chanter le crime » sur un demi-siècle, de la complainte à la « chanson réaliste à caractère criminelle », du crime de Pantin au dernier « tueur en série » de l’entre-deux-guerres.

Myriam Rocher nous propose une chanson canadienne...

Mes Aïeux
Dégénérations
Ton arrière-arrière-grand-père, il a défriché la terre
Ton arrière-grand-père, il a labouré la terre
Et pis ton grand-père a rentabilisé la terre
Pis ton père, il l'a vendue pour devenir fonctionnaire

Prieuré ou Aimônerie Saint-Jean de Mirebeau

Septembre 1185. Bulle du pape Lucius III qui met sous la protection du Saint Siège l'aumônerie de Mirebeau, confirme ses possessions et lui accorde plusieurs privilèges.

Source : Archives départementales de la Vienne
H, Prieurés, liasse 44

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La fréquence des accouchements gémellaires en France

La triple influence de la biologie, de la médecine et des comportements familiaux

Gilles PISON(*) et Nadège COUVERT(*)

La dimension biologique des phénomènes observés par les démographes peut parfois paraître déterminante voire exclusive. Dans certains cas pourtant, l’influence des comportements individuels et sociaux est décisive. Gilles PISON et Nadège COUVERT en font ici une belle démonstration, en s’appuyant sur des séries longues de données. La proportion des naissances gémellaires n’a cessé de varier en France depuis au moins le XVIIIe siècle, sous l’influence de l’évolution de l’âge à la maternité, des guerres, de la limitation volontaire de la fécondité ou, plus récemment, de la lutte contre la stérilité. Pour ne citer que l’un des résultats remarquables livrés ici par les auteurs, les traitements médicaux destinés à favoriser la grossesse seraient responsables des deux tiers de la hausse de la gémellité enregistrée depuis une trentaine d’années, dont la proportion est passée de 0,9 % à 1,5 % des accouchements.